Le volley-ball

Depuis une bonne dizaine d’années, je pratique un sport collectif qui n’est pas le football. Je joue en effet au volley-ball, mais bon, pas en compétition, plutôt en loisirs (ma taille, et surtout mes aptitudes dans ce sport, ne me permettent pas d’avoir la moindre illusion de jouer en compétition). D’ailleurs, au gré de mes changements géographiques, je suis rendu à mon sixième club.

J’ai ainsi commencé à l’Amicale Laïque d’Aubusson, dans la Creuse, club très sympa, mais le gymnase (qui accueillait également, à l’occasion, une foire exposition), était beaucoup trop grand à mon goût, mais cela m’a permis de voyager dans le département et d’aller dans des villages que je ne connaissais pas (et où je ne me suis pas rendu après ; je ne les ai donc traversés que de nuit ; ainsi, Auzances). Ensuite, j’ai joué à Pouilly en Auxois, durant un an. Là, nous nous entraînions le jeudi et, pour les matchs à l’extérieur, nous nous déplacions essentiellement à Dijon, mais nous avons également joué à Genlis ou Is-sur-Tille. Mon troisième club fut Dijon mais, là, problème : si je pouvais participer aux entraînements, ce fut plus difficile pour les matchs étant donné que les équipes adverses recevaient souvent le mercredi et, ce jour-là, j’avais commencé à suivre des cours de théâtre. J’ai donc mis le volley en parenthèse durant mes années dijonnaises.

À mon arrivée à Lyon, j’ai souhaité recommencer le volley avec une certaine ardeur. C’est la raison pour laquelle, au cours de la première année (2003-04) et profitant du fait que je ne m’étais inscrit nulle part pour le théâtre, j’ai fait du volley au sein de deux clubs : Saint-Priest, et l’association du Ministère des Finances. Mais, pour le premier club, il y avait trop de joueurs (et je ne me souviens pas avoir participé à beaucoup de matchs) et, pour le second, nous avions parfois du mal à trouver six joueurs et, quand nous en avions plus de six, j’étais souvent sur le bord de touche, alors que j’estimais avoir ma place.

Après un an sans en pratiquer, et après mon déménagement sur la Croix-Rousse, j’ai décidé de recherche un nouveau club, en septembre 2005, et, désormais, je joue à Rillieux-la-Pape. Enfin, surtout les deux premières années, car cette année, je n’ai joué qu’un set… Il faut dire que ceux qui participent aux matchs sont bien meilleurs que moi, à un tel point que je ne conteste pas le fait que je ne participe pas aux matchs… Alors, je me contente d’arbitrer les matchs de mes collègues et, surtout, je m’éclate aux entraînements !!! Si j’ai l’intention de changer de club à cause de ça ? Non. En plus, les coéquipiers sont plutôt sympas. Et les maillots aussi…